Les œuvres jubilaires de la Dynastie Tatossian
Charles Garo Tatossian se rappelle du Chamberland du Roi Farouk…..
À 88 ans le peintre Charles Garo Tatossian a une histoire qui reste
encore à découvrir.
Charles Garo Tatossian se rappelle du Chamberland du Roi Farouk…..
Ce n’est pas seulement la vie montréalaise qu’il faut
mettre à jour, mais… cette vie artistique d'un arménien.... avant d’arriver en 1960 en Amérique du Nord (à
Montréal, au Québec).
En passant pas la galerie La Maison de l’Art ou il a tenu
boutique ,sur la rue Saint-Catherine, pendant plusieurs décennies, je rencontre
par hasard le peintre Charles Garo Tatossian, au mois de juin dernier
(2014).
Après un échange de bonne manière, je le questionne sur la période qui a précédé sa venue à Montréal.
Comme il a été décrit dans les autres articles de ce blogue
le père de Charles Tatossain était peintre et il tenait boutique en Égypte.
Ceci n’est pas un secret de polichinelle.
Mais dans mon questionnement, j’étais curieux de savoir qui était les clients du magasin d’art tenu pas la famille. Une de ses réponses m’a vraiment intéressée.
Le Roi Farouk a collectionné des œuvres de la famille Tatossian.
Charles Garo Tatossian m’a révélé que le Chamberland du Roi Farouk passait régulièrement pour acquérir des œuvres de style orientaliste dans les années 1950 et 1960.
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Mais avez-vous peint des portraits orientalistes lui demandai-je; Oui a t-il répondu.... mais..... Il a fallu les laisser derrière nous pour émigrer...Mais je maitrisait bien ce style à mon arrivé en Amérique du Nord.
Ce sont les premières œuvres que j'ai peint ici à Montréal dans ma première boutique dans les années 1960 sur la rue Saint-Catherine, mais cela ne plaisait pas au collectionneur de Montréal.
J’ai du modifier mon style pour vendre des œuvres qui étaient plus représentatives de la vie Nord Américaine. Vous savez, si un artiste veut vivre de son art il doit faire la concession de vendre..... et pour vendre il faut s’adapter.
La toile orientaliste représente la vie culturelle des gens
d’ailleurs qui se divertissent à leurs façons dans une culture des mille et une
nuit.
Je ne peux remercier Charles Garo Tatossain, père de Armand Tatossian et de Rose Tatossain, artistes Québécois, d’avoir partagé des souvenirs qui renforcissent la connaissance de l'histoire artistique qui a voyagé dans des époques et des cultures différentes pour des collectionneurs de toutes les classes sociales.
Après un échange de bonne manière, je le questionne sur la période qui a précédé sa venue à Montréal.
Mais dans mon questionnement, j’étais curieux de savoir qui était les clients du magasin d’art tenu pas la famille. Une de ses réponses m’a vraiment intéressée.
Le Roi Farouk a collectionné des œuvres de la famille Tatossian.
Charles Garo Tatossian m’a révélé que le Chamberland du Roi Farouk passait régulièrement pour acquérir des œuvres de style orientaliste dans les années 1950 et 1960.
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Mais avez-vous peint des portraits orientalistes lui demandai-je; Oui a t-il répondu.... mais..... Il a fallu les laisser derrière nous pour émigrer...Mais je maitrisait bien ce style à mon arrivé en Amérique du Nord.
Ce sont les premières œuvres que j'ai peint ici à Montréal dans ma première boutique dans les années 1960 sur la rue Saint-Catherine, mais cela ne plaisait pas au collectionneur de Montréal.
J’ai du modifier mon style pour vendre des œuvres qui étaient plus représentatives de la vie Nord Américaine. Vous savez, si un artiste veut vivre de son art il doit faire la concession de vendre..... et pour vendre il faut s’adapter.
J’aimerais contempler des œuvres orientalistes, lui dis-je, de la période
de 1950. Vous savez au Québec dans cette période peut d'œuvre produite à
Montréal, au Québec représente le style orientaliste. Et bien dit-il…venez
demain.
Et bien devant moi, le lendemain, une œuvre orientaliste de Charles Garo
Tatossain était retrouvée d’un passé lointain.
Que de différence de ce que nous
avons été habitués de voir de cet artiste. Il faut dire que Charles Garo Tatossian va arriver au Québec à un âge
ou il a déjà plus de 15 ans de vie artistique ailleurs qu’au Québec. 
Peintre à Alexandrie
en Égypte ou en France cela avait déjà laissé des traces culturelles et des
influences de ces régions culturellement avancées.

Je ne peux remercier Charles Garo Tatossain, père de Armand Tatossian et de Rose Tatossain, artistes Québécois, d’avoir partagé des souvenirs qui renforcissent la connaissance de l'histoire artistique qui a voyagé dans des époques et des cultures différentes pour des collectionneurs de toutes les classes sociales.
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